Sanctions et instabilité en Haïti : Le Conseil présidentiel et le premier ministre Garry Conille critiqués.-
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Le conseil présidentiel haïtien suit les pas d’Ariel Henry en demandant des sanctions, ou en appuyant celles-ci, contre des potentiels adversaires politiques. Cette stratégie, qui semble ignorer les conséquences, a entraîné la perte d’emplois pour des milliers de familles en raison de sanctions jugées non justifiées.
Nous avons été surpris de voir le Premier ministre Garry Conille en tête-à-tête avec le secrétaire d’État américain Anthony Blinken. Ils ont discuté de la PNH (Police Nationale d’Haïti) et des élections, mais ont négligé d’aborder les effets négatifs des sanctions américaines sur l’économie haïtienne.
Malgré les sanctions, la situation sécuritaire en Haïti se détériore. Depuis le coup d’État contre l’ancien Premier ministre Ariel Henry, choisi et remplacé par les États-Unis, l’insécurité ne cesse de croître. Les sanctions imposées aux personnalités politiques et économiques n’ont pas réussi à stabiliser le pays, exacerbant au contraire les problèmes économiques et sociaux.
Les critiques à l’égard du conseil présidentiel et de la politique de sanctions américaine se multiplient, soulignant l’urgence de trouver des solutions équilibrées qui tiennent compte des réalités économiques et sécuritaires d’Haïti.
