Analyse de la plainte de Maître Caleb Jean Baptiste contre Johnson Napoléon et «Laurent Lamothe» : Manque de Fondement Évident.-

Démystification de la Plainte de Maître Caleb Jean Baptiste contre Johnson Napoléon et «Laurent Lamothe»

Maître Caleb Jean Baptiste est un individu que j’admire beaucoup, et nos discussions téléphoniques sont fréquentes. Permettez-moi de partager mon point de vue sur ses accusations concernant les 400 000 dollars, même avant de le contacter. Je tiens à préciser que je ne suis pas l’avocat de Napoléon, et je n’ai pas apprécié la manière dont il a géré son affaire avec Morvan Jhon Colem.

Il est tout à fait normal que Johnson Napoléon promouvoir son entreprise, Azure Collège, par le biais du marketing, comme le font tous les entrepreneurs que nous entendons régulièrement dans les médias traditionnels, tels que la Radio Caraïbes, où des dizaines et des centaines de bourses sont octroyées.

Examinons le cas d’Azure Collège : il appartient à Johnson Napoléon, qui décide d’accorder une visibilité à l’établissement en annonçant qu’il offrira gratuitement une éducation à 10 étudiants au nom du gouvernement d’alors(Martelly Lamothe), sachant que les frais annuels s’élèvent à 40 000 dollars par an, ce qui équivaut à un montant total de 400 000 dollars. Pour que cette opération marketing fonctionne, il était nécessaire qu’un représentant du gouvernement soit présent et remette un chèque symbolique.

Il est important de noter que mon ancien parti politique, AAA, a déjà utilisé cette stratégie en présentant un chèque lors d’un événement similaire.

Tout cela pour expliquer à Maître Caleb Jean Baptiste que le chèque symbolique de Johnson Napoléon ne constitue ni un don d’un gouvernement étranger au gouvernement haïtien, ni une contribution d’un organisme international pour un projet spécifique au gouvernement haïtien.

Si vous souhaitez poursuivre M. Johnson Napoléon pour ses activités commerciales avec un Cubain concernant l’achat de diplômes, vous êtes libre de le faire. Cependant, en ce qui concerne l’opération marketing d’Azure Collège, il est difficile de soutenir qu’elle manque de logique ou de base juridique, cher Maître.