Il est fort probable que les contribuables de l’ONA perdent toutes les cotisations qu’ils ont en caisse ou les cotisations mensuelles de 12% des employés (6% de l’employeur plus les 6% de l’employé).

Il est fort probable que les contribuables de l’ONA perdent toutes les cotisations qu’ils ont en caisse ou les cotisations mensuelles de 12% des employés (6% de l’employeur plus les 6% de l’employé).

L’ONA est de plus en plus très mal vu par les contribuables et aussi par la population qui, depuis quelque temps, ont de la répugnance à l’égard de cette vache à lait institutionnelle, espace des hommes corrompus, notamment le personnage à la tête, Chesnel Pierre.

Il arrive que le directeur général de l’ONA, Chesnel Pierre, est entre le marteau et l’enclume pourvu qu’il ne sait quoi faire pour ne pas franchir la route du pénitencier national après l’éclatement des informations de l’ONA.

Depuis la nomination de Chesnel pierre à la tête de la direction de l’ONA, cette noble institution dans le temps est devenue de nos jours un bordel et ne cesse de faire faillite.

Prenons en exemples les trois dernières années :

en 2014, l’ONA a fait des dépenses en terme de subventions (donation), 23,429.45 gourdes

En 2017—> 108, 210.49 gourdes

En 2018—> 177,960.62 gourdes

En 2019-> 208,873.54 gourdes

À vous de faire la somme.

Seulement pour subvention, sans parler des autres dépenses .

Des subventions approuvées par le directeur général de l’ONA Chesnel Pierre qui ne respecte aucun règlement interne de l’institution, Ni les lois de la république, Ni les lois morales, Ni les lois naturelles.

Il faut noter que ses dépenses ne proviennent pas des fonds publics , ce sont les cotisations des entreprises pour leurs employés déjà mal payés et qui travaillent parfois dans des conditions critiques.

Alors que les cotisants n’ont pas accès à des prêts minimals à l’ONA! On se demande maintenant pourquoi cotiser le mois prochain ?

puisque cette cotisation sera distribuée à des Gangs armés pour faire répression contre mes concitoyens (ennes) qui exigent de meilleures conditions de vie et que leur cotisation puisse demeurer disponible en cas de besoin pour propulser les petites et moyennes entreprises.

Ignace BELLAMOUR

LAKAYINFO