Haiti est sous la dictature du Canada après une série de sanctions politiques infligées à des politiciens et des hommes d’affaires.-
2 min readC’est une dictature qui ignore la démocratie prônée par le Canada lui-même, une situation qui arrange le gouvernement du Premier Ministre Ariel Henry. Nous vivons dans une période où le Canada réalise un projet de domination dont nous ne connaissons pas encore le but, et je vous le dis sincèrement, cette période n’est pas différente de l’époque coloniale en Haïti. Ce que nous vivons est dans l’intérêt du Canada.
Vous imaginez que Moïse Jean Charles, le leader de la gauche haïtienne, n’oserait pas organiser des manifestations de peur d’être puni par le nouveau maître d’Haïti, le Canada ?
Les sanctions politiques ne visent qu’à éliminer toute forme d’opposition contre le Premier Ministre Ariel Henry. Désormais, nous vivons dans une nouvelle ère d’autocratie en Haïti, où même la presse n’est pas épargnée.
Nous demandons si l’ambassadeur du Canada en Haïti, Sebastien Carrière, soutient la violence en Haïti. Est-ce qu’il lutte contre la démocratie dans l’intérêt de son pays ?
Le porte-parole du mouvement Eskwad Demokratik, avant le départ d’Ariel Henry pour le 220e anniversaire du drapeau à Cap-Haïtien, a déclaré : « Depi menm yon mouch volè nan Okap SANKSYON » (Menm yon mouvman vole Okap; SANKSYON). Sebastien Carrière et les médias/journalistes affiliés à l’ambassade du Canada n’ont pas publié de communiqués ou d’autres éléments de preuve pour prouver que les citoyens s’opposent au gouvernement d’Ariel Henry.
Un citoyen connu sous le pseudonyme « Arab » distribue des caisses de machettes dans les quartiers de Port-au-Prince, ce qui suscite encore plus l’impunité dans le pays.
Lorsque nous nous entretuons, cela arrange le vrai ennemi, et ils contribuent à nous procurer des armes pour mettre fin à la vie de nos semblables