Ces décisions ont été prises dans un motu proprio, c’est-à-dire une lettre émise directement par le pape, qui modifie la législation de l’Eglise (le droit canon). Le souverain pontife a néanmoins souhaité que le secret de la confession demeure absolu, ce qui exclut donc une dénonciation de faits rapportés par un fidèle dans le confessionnal.

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